Ouf...

4e journée de plâtres. Maudit qu'on a hâte à la fin !!

C'est pas tant que c'est épouvantable pour Camille ou douloureux ou «pauvre petite chouette». La partie difficile pour elle c'est d'être contrainte dans ses activités quotidiennes... Pas le droit de sauter. Pas de liquide qui peut entrer en contact avec les plâtres. Pas pouvoir les retirer. Pas pouvoir aller où elle veut (gazon, flaques d'eau, carré de sable, bain...) quand elle veut. Avoir papa ou maman sur le dos constamment parce qu'elle grimpe, saute, danse, tourne, tombe, virevolte, s'échappe vers le gazon humide... Ah et puis dormir avec des plâtres. Yé. Elle passe des nuits plutôt agitées et réclame maman (wow ! ça faisait longtemps) aux petties heures du pas-encore-le-matin. J'imagine qu'elle s'évade dans le monde des rêves et puis un mouvement la ramène à la dure réalité (c'est le cas de le dire, c'est dur, et c'est rude aussi). J'espère qu'elle n'en fait pas des cauchemars en plus. Ça serait le boutte.

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Sur une note plutôt comique :

En plein dans l'échangeur Décarie : «Wow c'est des glissages pour les autos ! wow c'est le fun !»

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Au moins, elle joue à la coquette... robes, jupes et vernis à ongles d'orteils à l'air au rendez-vous, pour les trois semaines qui viennent.